Henri BERNSTEIN

Division 11

Dramaturge.

20 juin 1876, Paris

27 novembre 1953, Paris

Il débute au théâtre en 1900 avec le Marché, qui indique chez le jeune dramaturge une sûre maîtrise dans la construction théâtrale et le sens du développement d’une intrigue qui se retrouveront dans les pièces suivantes, aux thèmes essentiellement centrés sur l’argent : le Détour (1902), le Bercail (1904), la Rafale (1905), la Griffe et le voleur (1906), Samson (1907), Après moi (1911).

Mais avec l’Assaut (1912), qui pose un cas de conscience, et le Secret (1913), Bernstein marque une évolution vers un théâtre moins brutal, plus humain, qui s’accentue avec Judith (1922) la Galerie des glaces (1924) Félix (1926), le Venin (1928), Mélo (1929), le Jour (1931), le Bonheur (1932), le Messager (1933), Espoir (1934), le Coeur (1935), le Cap des tempêtes et le Voyage (1937), Elvire (1940), la Soif (1949), Victor (1950) et Evangéline (1952), où une place prépondérante est faite non plus à l’intérêt mais à la vie sensuelle, avec ses illusions, ses faiblesses et ses déboires.

Source: Larousse
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Sépulture Bernstein 2 (div.11)